"Quand Diogène le cynique rentre dans son tonneau !"
Après une analyse sur deux années: on s’aperçoit désormais que la couche de population endoctrinée par ses enseignements est peu portée vers le savoir et l'ouverture d'esprit, mais recherche plutôt un guide pour canaliser la haine ou la frustration envers le système, souvent (comme par hasard), refoulée derrière une façade épicurienne et de belles rhétoriques.
Les personnes plus ouvertes, souvent la classe moyenne, sont indifférentes ou savent relativiser ses écrits, qui semblent plutôt extrêmes... voire radicaux !
Le gavage médiatique qui a duré plusieurs années a également joué en sa défaveur. Comme des oies trop remplies, les français "refoulent" désormais Onfray jusque dans ses émissions télévisées...
Malgré le grand renfort du groupe France Télévision (sous l'égide du gouvernement), du journal Le Point (de tendance libérale !) et du secours de Franz-Olivier Giesbert (anciennement Le Figaro, toujours de droite), la destruction programmée de la psychanalyse n'a pas eu lieu ; au grand désarroi du Triumvirat cité ci-dessus et de la neurologie moderne, qui comptait bien gagner beaucoup d'argent sur le dos de l'ignorance humaine !
La psychanalyse n'a pas vocation à être politique. "La psychanalyse de gauche" est un concept gentillet, mais cela fait longtemps déjà qu'elle a évolué vers l'empathie et la tangibilité... Il s'agissait donc bien, par déduction, d'une volonté politique qui ne dit pas son nom.
A présent que ce cap est franchi, la psychanalyse va pouvoir reprendre ses activités, essentiellement liées à la guérison, et continuer à porter des messages humanistes en direction d'une psychiatrie qui a perdu son chemin !
En fin de compte: "personne ne peut déformer la vérité, absolument personne... ce qui est juste demeure indivisible et immuable". Tous les efforts pour briser cette loi naturelle se sont vus réduits en cendres, le maître Onfray et ses disciples en ont fait les frais à travers la stigmatisation de leur mouvement. Ils sont devenus les victimes de leur propre obstination.
"slogan-choc pour tenter d'endiguer la baisse de fréquentation et la baisse des ventes"
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Voici une analyse pimentée mais néanmoins réaliste de ce polémiste :